Uberize me: comment se passe réellement la vie de coursier à vélo
|Je tenais à vous faire partager une ‘expérience’ originale d’un journaliste belge: pendant un mois il a utilisé tout en se filmant plusieurs services de l’économie collaborative: location façon AirBnB, micro-tâches/services, et, ce qui va plus nous intéresser ici, livraison à vélo pour Deliveroo et Take Eat Easy.
Son but était de réussir à gagner 2500 euros bruts par mois, il semble avoir réussi!
Les vidéos sont marrantes, et reflètent assez bien certaines situations de notre quotidien de coursier.
J’ai bien aimé celle sur la ‘chasse au trésor’, car c’est vrai que parfois il faut aller à la pêche aux indices pour remettre la commande au client, notamment quand son téléphone ne répond pas et qu’il n’a laissé aucune infos.
Les systèmes de digicode sont parfois surprenant, quant il ne faut pas carrément aller mener l’enquête sur les noms des boites aux lettres pour retrouver l’étage.
Ayant moi même une caméra sport, ça fait un bout de temps que j’envisage de créer un micro blog vidéo, à voir si j’aurais la motivation pour cela.
En entendant, voici la page d’accueil de l’expérience, vous y trouverez l‘ensemble de ses vidéos:
http://trends.levif.be/economie/high-tech/uberizeme/groupement-normal-488173.html
Sans parler de la pluie qui rend les routes glissantes.
2 jours qu’il pleut sur Paris…
Comment ça se passe Patrick dans ces cas là? Tu réduit ton nombre de livraisons?
Je réduit un peu ma vitesse, mais surtout je prend mes distances avec les autres usagers de la route à cause en effet des risques de glissades et du freinage peu efficace sur jantes mouillées.
Le plus délicat ça reste les pavés, certains sont hyper glissants, notamment sur les rues piétonnes…
Mais au global ça n’affecte pas vraiment mon nombre de livraison.